Le ministère des Armées veut avoir la capacité de « capturer » les objets spatiaux « dangereux » en orbite basse
Conformément à la stratégie spatiale de défense, publiée en 2019, la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30 fait du développement de moyens d’action dans l’espace une priorité. Et cela passe d’abord par le renouvellement des capacités de surveillance, avec le remplacement du système GRAVES [Grand Réseau Adapté à la VEille Spatiale] par le radar Aurore, lequel permettra au Commandement de l’Espace [CdE] de « voir certaines choses que nos partenaires européens ne voient pas », selon le général Jérôme Bellanger, le chef d’état-major de l’armée de l’Air & de l’Espace [CEMAAE].
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